Les cleantechs suisses tentent de s’exporter et elles ne le font pas seules. Les institutions suisses sont très présentes et actives à leurs côtés. Preuve en est lors du prestigieux World Future Energy Summit (WFES) qui a eu lieu à Abu Dhabi aux Emirats Arabes Unis du 17 au 20 janvier 2011  et qui a réuni 26’000 participants de 137 pays !

ENTREPRISES ET OFFICIELS CÔTE A CÔTE :
Une trentaine d’entreprises suisses innovantes se sont activées avec  l’aide des autorités suisses pour promouvoir technologies et savoir-faire sur leur pavillon et pendant les rencontres officielles avec les hommes d’affaires locaux.
La délégation suisse a bénéficié notamment de la présence de :

  • Walter Steinmann, directeur de l’Office fédéral de l’énergie,
  • Beat Vonlanthen, conseiller d’Etat du canton de Fribourg et président de la conférence des directeurs cantonaux de l’énergie
  • Uwe Krüger, ancien d’Oerlikon (incontournable acteur du solaire photovoltaïque en couches minces de silicium. Voir notre article sur les cleantechs) et désormais, très ambitieux président pour l’avenir des cleantechs à travers la plateforme d’exportation Cleantech Switzerland,
  • Nick Beglinger, jeune président dynamique et passionné de l’association privée Swiss Cleantech et du Swiss Village Association de la future ville verte de Masdar.

La pose de la 1ère pierre du Swiss Village à Masdar City

et également de la mobilisation de la représentation diplomatique et du Swiss Business Hub.

Lake Geneva Region, plateforme de promotion de la région Lémanique a su convaincre une quinzaine d’entreprises de participer à l’aventure avec le soutien de 4 sponsors institutionnels l’Office de la Promotion des Industries et des technologies (OPI), Cleantechs Alps la porte d’entrée Cleantech en Suisse Occidentale, l’Etat de Genève et l’Etat de Vaud.

COUP DE CŒUR POUR 8 CLEANTECHS

Un point commun des 8 entreprises et start-up citées dans cet article:

Ce ne sont pas toutes encore les leaders sur leurs marchés mais elles en ont le calibre.

Ce qui crée cette conviction :
leur positionnement de niche très spécifique et leurs dirigeants !

8 entreprises : 4 dans le solaire, 2 dans les matériaux, 1 dans l’efficacité énergétique et 1 dans les services de gestion de projet.

Rosita d’Iland, entourée de prospects

 

 

Iland Green Technologies:
le solaire en voyage !

Iland, c’est l’œuvre de Daniele Oppizzi, un génie de l’intégration électronique, dixit sa sœur Rosita qui le remplace en représentation pendant le voyage à Abu Dhabi ! C’est l’invention d’un kit solaire transportable dans un tube de 13 kgs et capable d’alimenter multiples appareils en électricité dont une pompe pour filtrer l’eau. Imaginez donc l’effervescence qu’un tel produit a provoquée aux Emirats ! Belle vie à Iland !

Clean Fizz :
le solaire tout propre !

Clean Fizz, c’est l’auto – nettoyage des panneaux solaires et des grandes surfaces vitrées. Sable, poussière ou neige, tout y passe, grâce à l’idée de génie de George McKarris de l’entreprise genevoise Volotek.  Les surfaces réagissent à un champ électrostatique actif et le miracle se produit en 30 secondes. Une telle technologie dans une région ventée par les sables comme les Emirats se justifie entièrement !

Image reprise du site de Grove Boats

 

 

Grove Boats :
le solaire qui navigue !
Grove Boats construit la mobilité navale durable grâce au solaire. Guy Wolfenberger, directeur nous confie : « La mobilité propre de plaisance, de surveillance ou de nettoyage des plages a de l’avenir, d’autant plus dans une région comme les Emirats. » Guy a été interpellé par de nombreux intéressés à Abi Dhabi. Souhaitons lui bonne chance !

Swiss Inso : le solaire au service de l’eau potable et de l’air !
Avec un premier tour de financement de US 6 millions et un 2ème tour en cours, Swiss Inso fait office de « grande ». Emanant du parc scientifique de l’EPFL, les solutions de Swiss Inso purifient des centaines de milliers de m3 d’eau contaminée ou d’eau de mer. Idéal pour les pays manquant cruellement d’eau potable. Swiss Inso vient de signer avec l’Algérie et la Malaysie. Découvrir l’article de presse.

Bioapply : le végétal au service des emballages plastiques !
C’est Hessam Shadmann, représentant de Bioapply aux Emirats qui nous accueille sur le stand.  Des sacs compostables et biodégradables en 12 semaines. Ces sacs arrivent au bon moment aux Emirats car à partir de début 2013, il y sera interdit d’utiliser des emballages plastiques. Il était temps !

Famat : des valves industrielles que l’on trouve de partout !
François Blanc, le nouveau patron de Famat perpétue la tradition de l’entreprise d’origine familiale qu’il a reprise en 2010. « Rien de très nouveau sous l’horizon des valves industrielles et de leur ingénierie technique si ce n’est un brevet de qualité très spécifique pour la sécurité des prélèvements d’échantillons dans les biotechs et ceci sans apport d’énergie », nous dit-il. L’avenir de l’efficacité énergétique passe aussi par là !

Swiss Energy Efficiency:
la chasse au gaspi d’énergie dans les industries !

C’est la mission que poursuivent les 2 co-fondateurs Christophe Royet et Arnaud Lavizzari qui allient leurs forces complémentaires de détecteur de tendances et d’expert thermicien et génie industriel. Infra-rouge, ultra-sons et détections de gaz vont rendre visible les économies d’énergies grâce à une démarche structurée du bilan énergétique aux actions correctives et de suivi. Un beau renfort au pôle de l’efficacité énergétique suisse !

E4tech : la gestion de projets d’énergies à la croisée de la stratégie, la politique et le financement! Très sollicité, David Hart, responsable du bureau de Lausanne raconte entre deux rendez-vous et prises de paroles comme conférencier au WFES: « Le montage de gros projets innovants  dans les domaines de l’énergie, c’est notre tasse de thé depuis 1997. Nous contribuons à faire émerger de nouvelles sources d’énergie comme les piles à combustibles, l’hydrogène, la biomasse dans de multiples applications. » L’innovation passe aussi par un savoir-faire multi facettes en gestion de projets !

Cour intérieure du bâtiment de l'institut de technologie à Masdar City

 

Alors que le Master Plan cleantech vient d’être adopté le 19.1.2011 par la confédération suisse (voir article Tribune de Genève), voici un complément de réflexion sur l’enjeu de taille que représentent les cleantechs pour la Suisse et qui fait suite à notre article « Les cleantechs en Suisse: état des lieux ».

DES OBJECTIFS AMBITIEUX

Photo importée du site de la confédération suisse: www.cleantech.admin.ch

Voici la vision et les objectifs énoncés dans le Master Plan cleantech suisse par le
Conseil fédéral et résumés de façon certes un peu réductrice par votre auteure.

Vision :
La Suisse entend assurer d’ici à 10 ans un rôle de leader au niveau international dans le domaine des cleantechs. La Suisse vise à réduire sa consommation de ressources à un niveau supportable pour la nature (empreinte écologique 1) à l’horizon 2100 et donne ainsi les impulsions en matière d’efficacité et d’économie des ressources.

« Nous avons rédigé et adopté cinquante mesures et recommandations qui permettront à notre pays d’atteindre cet objectif », Doris Leuthard au Forum suisse le 18.1.

Cependant les besoins de financement d’une telle ambition ne sont pas annoncés.

Objectifs :

  1. Devenir leader dans la recherche cleantechs
  2. Réaliser des progrès considérables dans le transfert de savoir et de technologie (notamment entre les hautes écoles et l’industrie)
  3. Devenir leader dans la production des cleantechs
  4. Faire des cleantechs un symbole de la qualité suisse

 

L’AVENIR DES CLEANTECHS, UNE QUESTION DE POSITIONNEMENT INTERNATIONAL ET NATIONAL

Image extraite de la présentation d'Oerlikon Solar au WFES, Abu Dhabi janvier 2011

 

L’axe majeur international pour la Suisse semble être l’efficacité énergétique et l’économie de ressources ainsi que des marchés de niches très spécifiques dans le solaire, laissant les productions d’énergies de masse (ex solaire, stockage de l’énergie) aux mains d’une rude concurrence internationale (cf Chine et USA), même si certains fleurons du solaire suisse tirent encore leur épingle du jeu (voir Oerlikon Solar et sa technologie en couches minces de silicium). En 2010, le géant suisse ABB a gagné plusieurs palmarès en réalisant 2 des 10 plus grosses opérations mondiales de rachat dans le secteur de la gestion d’énergies. Efficacité énergétique et positionnement stratégique obligent! Voir l’excellent article de la Tribune.fr « 31 milliards d’Euros de deals en 2010 dans les cleantechs ».

Source: Calculs du Fraunhofer-Institut für System- und Innovationsforschung (ISI)23- Tableau importé du Master Plan cleantech.

Au plan national, les cleantechs requièrent des investissements massifs car elles adressent le besoin de grandes infrastructures (production d’énergies, traitement des eaux, gestion des déchets, mobilité) et relèvent de la responsabilité de l’Etat vis à vis des citoyens.

Les débats pro et anti-nucléaire actuels sur l’approvisionnement énergétique suisse à l’horizon 2025 vont bon train:

  • à Genève depuis que les constituants genevois ont décidé en septembre 2010 de supprimer l’article qui bannit l’énergie nucléaire du canton. Article de la Tribune de Genève du 30.9.2009.
  • à Berne et ailleurs en préparation de la votation populaire du 13 février pour déterminer l’avenir de la centrale nucléaire de Mühleberg (voir article de l’Hebdo).

On vit une bataille rangée de chiffres entre les anti-nucléaires qui démontrent la faisabilité énergétique par les énergies renouvelables et les pro-nucléaires qui brandissent la pénurie potentielle dès les années 2030. Une source essentielle d’information est le rapport Weinmann d’octobre 2009 (voir le résumé du rapport) qui démontre  en chiffres qu’il est possible de remplacer la production des 3 centrales nucléaires actuelles (21 TWh/an) par des économies d’énergies et les énergies renouvelables (cumul de 28 TWh/an). Le site www.informationnucléaire.ch nous éclaire sur les coûts réels du nucléaire et surtout de son démantèlement. Edifiant!

L’accélération des mesures d’efficacité énergétique par exemple dans les bâtiments et l’habitat est en route. Quant à la production de nouvelles énergies renouvelables, elles subissent malheureusement des freins. Voir article sur la fronde anti-éolienne dans le Jura.

Pour revivre le débat animé télévisé sur la TSR, voir l’émission Infrarouge du 23.11.10 avec notamment Isabelle Chevalley, présidente d’Ecologie libérale et députée au Grand Conseil, Vaud et bien d’autres personnalités: « vous reprendrez bien une petite centrale nucléaire« .
Les gros enjeux nationaux commencent donc par la future politique d’approvisionnement du pays.

LES ENJEUX DES CLEANTECHS

Comment la Suisse pourrait-elle soutenir l’innovation dans les énergies renouvelables (ER) et surtout les nouvelles ER si elle fait le choix du nucléaire? Tout ne pourra pas être financé.
L’Etat semble vouloir activer son rôle de régulateur pour encourager l’innovation en ayant introduit des taxes qui font bouger: taxe sur le Co2 (source de financement du programme Bâtiments depuis 2010), étiquetage des appareils et des bâtiments, normes du bâtiment (SIA, Minergie) et la Rétribution à Prix Coûtant pour encourager les énergies renouvelables.

Mais que représentent quelques centaines de millions de CHF face à des programmes d’investissements massifs de relance économique alloués par exemple aux USA (64 milliards dollars) ou en Chine (40 milliards dollars) en 2009  dans ce domaine des cleantechs?

Cet état de faits conditionne les priorités et le type de marchés de cleantechs que la Suisse peut se permettre de poursuivre. Cependant nous pouvons faire confiance à la capacité d’innovation suisse et à sa précision technologique car de nombreux exemples de réussite  et d’innovations d’excellence s’affichent régulièrement. A suivre dans une prochaine parution…et également sur les sites de CleantechsAlps et de façon plus générale sur celui de Swisscleantechs.


In-fuseon a développé la méthode in-fuseon™Concept permettant rapidement et durablement à votre entreprise innovante de concevoir et structurer sa stratégie de marketing – communication, sa stratégie de marque et ses supports de communication pour générer business et notoriété. In-fuseon accompagne la start-up Geroco depuis début 2010.

Les cleantechs (ou technologies propres) sont un domaine porteur d’espoirs économiques, sociaux et environnementaux, au cœur de l’effervescence institutionnelle en Suisse.
Etat des lieux!
Cette proposition de réflexion est réalisée sur la base de l’analyse de sources d’informations officielles :

et d’une expérience terrain de certaines cleantechs locales en 2010.

Un témoignage réjouissant :

« A partir du lancement des recherches actives de fonds, il nous a fallu en réalité moins de 5 mois pour réunir CHF 800′000.- », précise Michael Dupertuis, directeur de Geroco et de la solution Ecowizz de maîtrise de la consommation d’énergies aux particuliers et aux entreprises : www.ecowizz.net.
La bonne idée, la capacité à s’entourer des bonnes compétences, le talent des créateurs, la force de travail, voilà les atouts que Geroco déploie depuis sa création en Valais en novembre 2009.
Un bel exemple de start-up cleantech suisse à suivre…

LES CLEANTECHS, EFFET DE MODE OU ENJEU MONDIAL?

« Nous n’échapperons pas au baril de brut à 100 dollars », article de la Tribune de Genève, 6.1.2011.

…pic pétrolier atteint ou pas…avec comme conséquences des augmentations de tarifs même différés pour les entreprises et les particuliers.
Face à la croissance des consommations d’énergies, à la raréfaction des ressources naturelles, aux mutations climatiques, écologie et économie ne sont plus antinomiques quant il s’agit de maîtriser notre empreinte écologique.

« Sur la base des données de 2007 analysées dans le rapport 2010, l’Empreinte Ecologique de la Terre a dépassé sa biocapacité de 50% « ,
Source WWF : Rapport Planète vivante 2010

Alors que l’empreinte écologique moyenne mondiale est de 1.5, elle dépasse les 2 planètes Terre dans les pays à hauts revenus.

La vision 2050 du World Business Council for Sustainable Development, une organisation mondiale de 200 entreprises engagées dans le Développement Durable, propose un nouvel agenda pour le monde des affaires au risque de voir la consommation des ressources multipliée par 2,3 par rapport à ce que la planète Terre peut nous fournir !

Même si la maîtrise des consommations dépend aussi de nos comportements humains, les cleantechs proposent des solutions qui contribuent à protéger et à préserver les ressources et les systèmes naturels. Elles recouvrent les domaines de l’environnement, de l’énergie et des ressources naturelles. En font notamment partie les techniques de mesure de l’efficacité des ressources, la gestion des eaux et des déchets, le recyclage, l’efficacité énergétique, les énergies renouvelables, le stockage de l’électricité appliqués à notre vie quotidienne.
En Suisse par exemple, les bâtiments représentent 45% de la consommation totale d’énergie grise et est responsable d’un tiers des émissions de gaz à effet de serre.

En 2020, les cleantechs pourraient représenter 6% du volume de l’ensemble des activités économiques mondiales avec un marché estimé à 2’900 milliards de CHF (croissance de 3 à 8% d’ici à 2020).

UN CONTEXTE DE RENOUVEAU EN SUISSE

En Suisse, l’intérêt envers les cleantechs, n’est pas nouveau. Ces technologies ont contribué à positionner la Suisse comme un des pays les plus innovants dans la décennie 90. La Suisse obtient le 2ème rang des investissements en Recherche et Développement et est citée parmi les 30 pays les plus compétitifs dans l’innovation. (Sources dans Rapport cleantech Béglé sur base OCDE et WEF).

Mais depuis le début des années 2000, il y a perte de terrain surtout sur les énergies et matériaux renouvelables si on prend le nombre de dépôts de brevets comme un indice précoce d’innovation.

En 2010, un rapport sur les brevets dans les cleantechs, réalisé par l’Office européen des brevets (OEB), le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) et le Centre international pour le commerce et le développement durable (CICDD) constate que le Japon, les Etats-Unis et l’Allemagne sont les plus grands déposants, la Suisse arrivant en 11ème position. (Source : Patents and clean energy : bridging the gap between evidence and Policy)

La Suisse réagit et veut inverser la tendance. Elle capitalise sur ses nombreux atouts : capacité d’innovation à travers les hautes écoles, incubateurs, plateformes d’accueil, de promotion et de financement.
Un excellent article le 22.12.10 du magazine L’Hebdo dresse un panorama de la situation de « ce printemps des cleantechs ».

Il est essentiel de distinguer les acteurs générateurs d’innovations (technologies ou intégrateurs ou conseils à valeur ajoutée) de ceux qui utilisent les cleantechs avec ou avec peu de valeur ajoutée.

La Suisse se dote de plusieurs « outils » institutionnels :

  • un Master Plan cleantech Suisse, émis en octobre 2010 et en cours de consultation jusqu’au 28 février 2011 puis en adoption par le Conseil Fédéral au printemps 2011
  • de clusters et incubateurs régionaux résultant d’initiatives cantonales rattachées pour certaines aux promotions économiques : i.net Basel, Cleantech FribourgCleantechAlps, le pôle d’excellence cleantech Genève et SO et Zurich Green Region
  • et en comptant bien entendu sur son tissu économique et ses entreprises innovantes : nous avons identifié 80 PME, industriels et start-up en Suisse à partir de la cartographie non exhaustive établie par CleantechAlps et publiée par L’Hebdo. Le rapport cleantech Béglé liste plus de 300 acteurs en Suisse Occidentale incluant les nombreux entrepreneurs/installateurs en bâtiments.

Sans compter les nombreux créateurs en herbe que canalise une association comme VentureLab et qui sont juste dans une phase d’émergence…
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In-fuseon a développé la méthode in-fuseon™Concept permettant rapidement et durablement à votre entreprise innovante de concevoir et structurer sa stratégie de marketing – communication, sa stratégie de marque et ses supports de communication pour générer business et notoriété. In-fuseon accompagne Geroco depuis début 2010.

IN-FUSEON FÊTE SA PREMIERE ANNEE D’ACTIVITE


QUELLE EST VOTRE TASSE DE THE?

Le nom d’in-fuseon est évocateur de l’infusion ou de la fusion intérieure : phénomène du thé qui change son environnement en apportant saveur, parfum et couleurs. Nous sommes en présence de 3 éléments: le sachet de thé, la tasse et l’eau chaude.

  • Le thé est évocateur de partage, bien-être, découverte et raffinement.
  • La tasse, c’est le monde qui nous entoure et nous contient.
  • L’eau chaude, c’est l’environnement mouvant de l’entreprise et les actions qu’elle s’engage à entreprendre pour devenir plus responsable (RSE)

 

Le thé, c’est-ce qu’apportent les partenaires internes et externes de l’entreprise, incluant in-fuseon, son professionnalisme, ses valeurs, sa philosophie, sa motivation et ses compétences en marketing et communication.

in-fuseon Sàrl, la communication au sens propre, ouvre un blog en substitut de sa page d’actualités éditée jusqu’à présent sur son site institutionnel www.in-fuseon.com.

Le blog nous permettra de publier, analyser, relayer et commenter des articles de façon plus soutenue sur nos sujets d’interpellations et d’actions:

  • les technologies propres (cleantechs),
  • la responsabilité sociétale des entreprises (RSE ou CSR en anglais) qui met en scène les engagements des entreprises sur des actions concrètes de développement durable,
  • les stratégies de communication et les enjeux de l’intégration des media sociaux pour les entreprises.

Bonne lecture, bons échanges, bienvenue aux commentaires constructifs!

Edith Page, Ceo et fondatrice d’in-fuseon